« En dressage on veut toujours aller trop vite. Pour arriver promptement, ne pas se presser, mais assurer solidement chacun de ses pas. »
« Demander souvent ; se contenter de peu ; récompenser beaucoup. »
« Mains sans jambes, jambes sans mains. »
« La leçon doit être, pour le cheval comme pour le cavalier, un exercice salutaire, un jeu instructif qui n'amène jamais la fatigue. »
« Dès que la sueur apparaît, c'est que l'homme a dépassé la mesure. »
« Vous vous efforcerez de causer avec le cheval et de vous en faire écouter. »
« Il faut d'abord commencer par l'encolure et ne passer outre qu'après elle aura acquis toute la souplesse désirable... »
« Placer avant de déterminer, sinon attendre tout du hasard. »
« Il est rare que les défenses aient d'autres causes que la faiblesse du cheval ou l'ignorance du cavalier. »
« L'éperon est un rasoir dans les mains d'un singe. »
« [...] longtemps, j'ai douté du succès car j'avais peine à croire que tous les écuyers se fussent trompés jusqu'à ce jour... »
François Baucher meurt en 1873. Ses plus célèbres disciples seront le Général Alexis L'Hotte (qui interdira plus tard l'application de sa méthode dans l'armée) et le général Faverot de Kerbrech.
Ses grands préceptes basés sur la recherche absolue de la légèreté restent d'actualité.